Orthodontie Genève : tout ce qu’il faut savoir

Orthodontie

L’orthodontie, plus correctement appelée orthodontie, est la branche de la médecine qui traite des problèmes liés à la croissance et au développement des os du crâne et du visage, des problèmes liés à la relation entre les arcs et ceux découlant de la fonction masticatoire.

Le spécialiste en orthodontie est ce médecin ou dentiste qui a perfectionné son cursus en obtenant le titre de « spécialiste en orthodontie » à la suite d’un cursus universitaire de spécialisation post-universitaire de 3 ans. Chaque orthodontiste est aussi un dentiste, mais tous les dentistes ne sont pas des orthodontistes. Y a-t-il des orthodontistes à Genève ?

Quand faut-il voir un orthodontiste à Genève ?

Le contact avec l’orthodontiste à Genève devrait avoir lieu dès les premières années de la vie de l’enfant. Amener un enfant vers 3-4 ans chez l’orthodontiste permet à l’enfant d’entrer en contact serein avec l’environnement dentaire et permet au spécialiste d’évaluer précocement tout problème de croissance et de développement ou d’harmonie.

À cet âge, il y a des changements importants dans le développement de l’enfant : la dentition temporaire est terminée, le régime alimentaire change, des habitudes gâtées telles que la tétine ou autre peuvent persister et compromettre le développement normal de la dentition. La déglutition, qui est une fonction importante, peut altérer l’équilibre musculaire, et les rhumes ou otites à répétition peuvent entraîner de mauvaises habitudes respiratoires.

Souvent, l’orthodontiste se limite à surveiller le processus de croissance, vérifie périodiquement le patient en attendant les différentes phases de croissance et d’échange de la dentition, évaluant si et quand intervenir et avec quels appareils.

L’examen chez un orthodontiste à Genève

La première visite : il est conseillé d’effectuer une visite au plus tard entre 5 et 7 ans. La première visite d’un enfant entre 5 et 7 ans comporte une phase d’accueil qui est essentielle pour établir une bonne alliance de travail avec le petit patient. Si l’enfant se sent à l’aise et serein, il sera beaucoup plus disponible et collaboratif en cas de besoin.

L’antécédent médical est une carte qui demande une série d’informations détaillées sur l’histoire de l’enfant. Une fiche anamnestique orthodontique peut contenir des informations sur la gestation, l’accouchement, l’allaitement, le type de sommeil de bébé, la nutrition ainsi que bien sûr des informations médicales (allergies, maladies, etc.).

Garçon de sept ans : L’orthodontiste à Genève peut prendre quelques minutes pour inspecter la cavité buccale afin de comprendre si l’enfant doit intervenir dans le processus de croissance ou s’il existe des informations suggérant qu’il pourra s’installer tout seul.

Après l’heure d’admission, l’heure de l’anamnèse et l’heure de l’inspection rapide de la cavité buccale, le spécialiste a généralement un bref entretien avec les parents à qui il illustre ce qui a été trouvé. Dans les cas où il n’est pas nécessaire d’intervenir, une inclusion dans le plan de surveillance à une fréquence établie est proposée.

Contrôles périodiques et collecte de données

L’enfant est suivi pendant son processus de croissance à un taux fixe. En attendant, commence l’éducation à l’hygiène bucco-dentaire, qui varie ses aides (brosses à dents, dentifrices, comprimés détecteurs de plaque, bains de bouche, etc.) selon l’âge du patient.

L’orthodontiste sait quand faut-il placer un appareil dentaire. Il sait aussi si vous avez besoin si vous avez besoin d’un appareil dentaire transparent ou une orthodontie invisible.  A Genève, vous avez de nombreux cabinets et de nombreux orthodontistes chez lesquels vous pouvez consulter.

Lorsque l’orthodontiste estime que le moment est venu d’intervenir, il prescrit le recueil des données pour l’étude du cas.

La collecte de données consiste en un rendez-vous assez long au cours duquel l’enfant est photographié dans différentes positions, des radiographies sont réalisées ou prescrites dans différentes positions, des empreintes d’arcade dentaire sont prises et la mastication est détectée. Une fois élaborées, ces données permettent au spécialiste de procéder à l’étude de cas.